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ECONOMIE

LANCEMENT DE LA DIGITALISATION DES DROITS DE TRAFIC: L’HEURE DE VERITE A SONNÉ 

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Prévue pour le mardi 22 avril 2025 et renvoyée pour une date à fixer, la digitalisation des droits de trafic maritime aura le mérite de la transparence, traçabilité et concentration des fonds publics pour permettre à LMC de relancer son exploitation dans une politique maritime nouvelle et surement avec des mandataires plus aguerris et plus maritimes que les routiers actuels qui dilapident les droits de trafic dans la masse salariale et autres protocoles d’accord dont ils refusent voir perdre, sans s’appliquer à assainir la société pour permettre de présenter des états financiers capables de bénéficier des financements extérieurs.

Marinvest a acquis frauduleusement la propriété de la Ligne Anvers – Matadi -Boma au détriment de l’État congolais, à la suite de la faillite territoriale de la Représentation CMDC- Anvers prononcée en 2002. Comment peut-on inclure dans une faillite territoriale une ligne qui s’étant hors Belgique et appartenant à l’État congolais en la faisant comme un élément de fonds CMDC ? C’est cette confusion qui fait penser à Marinvests qu’il est propriétaire de la Ligne Anvers-Matadi – Boma qu’on considérait appartenir au fonds de commerce. C’est par incompétence qu’ils ne savent pas défendre et négocient pour placer leurs enfants en Belgique en cachette derrière Marinvests. L’état congolais perdra ses droits s’il continue avec des incompétents à la direction de ses sociétés. Allez demander à Marinvests, par quel miracle il devient propriétaire de fonds de commerce CMCD et de trafic Anvers-Matadi-Boma? Depuis quand une représentation a un fonds de commerce qui soit la ligne d’un Etat ? Comme vous pouvez le voir, défendre LMC est le cadet de souci de MUKENDI. Ainsi les recettes de cette exploitation sont introuvables et ils ont placé leurs enfants (Mende et Mukendi) comme représentants pour bien piller.

Où vont les droits de trafic perçus par MUKENDI ?

Paradoxalement, MUKENDI, qui bénéficie des droits de trafic depuis 5 ans engrangeant plus de 160 millions USD cumulés à ce jour n’a aucune réalisation même pas un simple bureau mais il multiplie les locations de bureaux avec son neveu à la logistique alors que LMC a beaucoup de terrains non lotis.

Il refuse que la Vice Primature aux Transports, Voies de Communication et Désenclavement (MTVCD), propriétaire, au nom de l’Etat desdits droits, organise leur perception pour que que l’on sache tout ce qu’ils ont fait depuis 5 ans. Il a préparé ses enfants pour suivre les paiements même après lui. La question est où va l’argent des droits de trafic ?

Votre Journal a suivi les traces de droits de trafic et vous renseigne selon les informations fiables que plus de 60 % de ces droits se volatilisent suivant les protocoles savamment organisés par MUKENDI et sa famille et plusieurs directeurs de LMC pour vider cette société de toutes ses recettes.

Hormis le Kongo central siège d’exploitation et Tanganyika, et bien qu’aucun contrat n’a existé avant eux, Tshizainga et Mukendi ont amené un système de rétro-commission aliénant les droits de trafic maritime. Il s’agit d’un plan de dilapidation bien organisé qui se présente comme suit avec les protocoles d’accord signés avec en tête les fils MUKENDI, BOSENGA et NDAKASHAMI:

– 20 % de droits de trafic pour Le Haut Katanga

– 15 % pour Lualaba

– 15 % pour AMICONGO

– 10 % pour le regroupement des sociétés chinoises au Katanga.

Toutes ces commissions ont de comités de suivi dont les représentants sont les membres de sa famille, sa propre femme et ses nièces, femme de Franklin MULUNDA ne travaillant pas à LMC.

Soit 60 % des droits de trafic vont dans les poches des gens sans que cela ne dérange l’intersyndicale. LMC se retrouve avec 40 % seulement. De ce 40 %, plus de 99 % sont bouffés par les salaires et frais de mission, aides et de superflux dans des rubriques qu’ils appellent autres services extérieurs et autres charges hors exploitation qui prennent à deux plus de 50 % des dépenses.

L’IGF et le Conseil Supérieur du Portefeuille n’ont jamais questionné Mukendi sur ces deux rubriques ou ils s’y retrouvent dedans ! Ces rubriques n’ont jamais existé avec les retraités qui étaient honnêtes envers la société et nous avons laissé des recettes qu’il dilapide pour sa famille.

Ce que BEMBA veut réaliser par la digitalisation

Le VPM BEMBA ramène 82,5 % à LMC et prend 17,5 % pour les structures étatiques dont le ministère, le Secrétariat général qui a le même pouvoir que le DG dans l’exécution de l’Arrêté car c’est lui qui a le pouvoir d’arraisonner les navires en cas de non-paiement et la société de digitalisation pour la traçabilité et la transparence. C’est là que MUKENDI lance sa milice pour dire, il est capable de créer une insurrection à travers le pays à l’instar de Nangaa si ses intérêts sont menacés. Voilà le comportement de celui qui se présente comme l’ami et frère du Président Tshisekedi.

Les fuites et coulages de droits de trafic par MUKENDI

Par ses multiples engagements, la masse salariale est augmentée de 1500 % soit de 1,2 million USD l’an avant 2020 à 18 millions USD ce jour alors que l’activité a baissé de plus de 75 %. MUKENDI fait des dons de plus de 797.915 USD l’an et participe de manière active à l’effort de guerre pour attirer l’estime du Président de la République alors que LMC se meurt.

JC Mukendi, un DG particulier

Le Président FÉLIX a dit qu’il n’y a pas d’intouchables au Congo et nul n’est au dessus de la loi. Alors qu’il explique pourquoi Mukendi défie la loi sans être interpellé.

Pour MUKENDI, il est du secteur du Portefeuille, alors que les droits de trafic maritime, en vertu de la loi et de l’Arrêt de la Haute Cour en matière administrative, le Conseil d’État, ces droits appartiennent à l’état au travers de son Ministère de TVCD. La politique de transport maritime du Gouvernement est édictée par le Vice-Premier Ministre aux TVCD. Lors des états généraux du Portefeuille, le Président de la République a demandé aux entreprises de soutenir son programme. La question, MUKENDI au Portefeuille, va soutenir quel programme ?

Israël MBIYAMUENZA Mukendi. Directeur juridique et administrateur dans AMICONGO, neveu du DG Mukendi

 

C’est la raison pour laquelle ne sachant que faire, il veut se cacher derrière les droits de trafic comme chiffre d’affaires alors que objectivement parlant, s’il faut faire les soldes intermédiaires de gestion, le financier, un autre parvenu, triche en mettant les droits de trafic comme production ou services vendus. LMC a vendue quoi en commerce international ? la tricherie de LMC dépasse tout entendement se passant pour une régie. Depuis quand la collecte des droits de trafic est une activité maritime ?

Le refus de paiement de frais de mission aux membres de cabinet du VPM

Quand on monte sur une estrade pour exposer des balivernes et étaler ses âneries, il y a de quoi se demander si la famille du DG MUKENDI est remplie des incompétents de cette envergure.

Ils parlent de refus de frais de mission aux membres de cabinet du VPM BEMBA GOMBO comme raison de la décision de digitalisation. Quelle absurdité ! D’abord la PM Judith Suminwa, dans sa lettre adressée à l’intersyndicale rappelle que le contrat avec PADS remonte en 2022 donc d’avant Bemba pour la digitalisation du secteur de transport. C’est donc un faux-fuyant et un mensonge.

Toutefois, il sied de préciser que pour ce qui est de frais de mission, il y a le principe et le fait.

Sur le plan de principe, les missions des conseillers de ministres et des membres de leurs cabinets émargent dans leurs budgets respectifs. Cependant, dans le fait, certaines situations ou urgences au profit des entreprises publiques peuvent faire que pour éviter la lourdeur administrative dans les procédures de décaissement de fonds au niveau du budget et des finances qui peuvent préjudicier les intérêts des entreprises pour des missions urgentes exigeant de la célérité, celles-ci dans la plupart, prennent en charge les frais de mission des membres de cabinets et ce, sur les redevances rétrocédées et non sur leurs recettes d’exploitation. Car les missions leur sont profitables et sontbdes ordres hiérarchiques. Quel est ce mandataire qui a été sanctionné par l’IGF pour avoir payé les frais de mission des conseillers de ministres ? Il n’existe pas.

Mukendi malheureusement, ne peut pas le savoir. C’est trop haut pour lui. Par exemple la signature des accords maritimes avec l’Angola, l’Afrique du Sud ou encore la Belgique; les réunions économiques de la SADC ou de la CEEAC. Si les missions sont urgentes et immédiates avec les procédures de décaissement lourdes, les bons managers soulagent l’Etat en intervenant directement avec leur trésorerie.

Cela n’est pas une faute ni un détournement car les preuves de décaissement existent. Mais quand Mukendi et sa bande évoquent cette assertion pour justifier son refus de frais de mission sur un ordre signé par sa hiérarchie, c’est de l’insubordination étalée à la place publique. Ils ignorent que les accords maritimes signés par le MTVCD leur sont d’abord profitables. Et en agissant ainsi, ce DG démontre son manque de leadership et de management. Voilà ce que MUKENDI ne peut pas voir ni capitaliser.

Mais pour supporter les loisirs et faire de dons de l’ordre de 797.915 dollars, ou son avitaillement de 1,553 million usd l’an, il le fait. ILUNKAMBA a autorisé ces genres de dépenses ! Ou pour dépenser plus de 5 millions USD pour sa famille et à la fin réaliser un bénéfice 24 fois moins l’imputant aux retraités qui ont entamé les procédures judiciaires contre lui, cela est normal.

Le Portefeuille et l’IGF ferment les yeux . Que gagne l’état congolais de toutes les missions effectuées par MUKENDI, sa femme et sa famille qui ont coûté plus de 5 millions à LMC ?

Comparées aux missions des conseillers du VPM qu’ils présentent comme irrégulières alors que c’est au bénéfice de LMC. Entre les engagements, promotions et missions qui dépensent 23 millions l’an à LMC, dépassant même un navire et les frais de mission des conseillers qui ne dépassent même pas 20.000 USD, mais avec impact pour LMC, quoi choisir ? MUKENDI qui viole tous les textes chaque jour veut parler de respect des textes ? C’est le monde à l’envers. Qu’il commence d’abord par expliquer où sont partis 160 millions encaissés durant les 4 dernières années et comment les promus ne sont que membres de sa famille dont les deux parleurs qui ont moins de trois ans.

Alors que MUKENDI est devenu Chef de service après 15 ans au bénéfice de vide laissé par son supérieur parti en retraite et Sous-directeur en trompant le DG ELESSE au motif que Félix le maintiendrait s’il le nommait, il n’a jamais vu quelqu’un devenir directeur après 1,2 ou 3 ans d’ancienneté. De quel respect des textes ils parlent ? En vertu de quelle disposition Israël MBIYAMUENZA, Franklin MULUNDA et ses autres fils et neveux voire son cadet diplômé d’état sont plus gradés que les anciens, licenciés, plus expérimentés et plus intelligents qu’eux ?

« Si les enfants que nous avons laissés et formés étaient ceux qui dirigeaient LMC, le miracle de la relance serait possible. MUKENDI a détruit tous nos efforts au profit de sa famille », lance un retraité qui a requis l’anonymat.

Mukendi doit savoir que l’état est l’actionnaire unique de LMC et non lui. la politique maritime est édictée par le VPM Bemba et non Bussa encore moins lui. Et quand on est à l’international, on est représentant de la RDC et non LMC.

 Confusion de mot entre exploitation et perception les droits de trafic maritime

MUKENDI et sa famille auxquels se joint l’intersyndicale, font une confusion entre l’exploitation et la perception des droits de trafic. Quand on dit qu’on ne devient pas directeur par hasard, certains pensent que l’on ment. Voilà que l’on confond le verbe percevoir et exploiter. Déjà à ce niveau, il y a un drame. Tout intellectuel se rend compte de l’absurdité des cadres promus et de comprendre que le français fait défaut parmi les cadres de cette entreprise.

LMC exploite les droits de trafic par affrètement des navires au voyage ou à temps avec son agent maritime MARINVESTS et dont les recettes ne figurent pas dans les documents financiers et MTVCD n’y a jamais touché ni remis en cause.

Or, l’Etat constate que cet argent sert aux individus en lieu et place de l’entreprise. C’est en vertu de l’exploitation de ces droits que l’Etat lui a offert les 10 navires à sa création qu’elle n’a pas été en mesure d’amortir. Le dernier navire a été vendu en 1994.

Pourquoi LMC ne percevait-elle pas les droits de trafic dont elle se réclame en être la détentrice avant 2003 ? Que LMC montre les perceptions de ces droits avant l’Arrêté ministériel du 06 novembre 2003 et qu’elle brandisse les statuts d’avant la transformation qui lui confèrent ces droits ?

La perception des droits de trafic quant à elle, vise les droits exclusivement et souverainement appartenant à l’Etat congolais qui ont été rétrocédés au titre des subsides indirects à LMC par l’Arrêté du 06 novembre 2003 sus-évoqué. LMC doit donc faire la part de choses entre ce qui lui revient et ce qui appartient à l’Etat Congolais, propriétaire unique de cette société.

C’est en vertu de cette confusion qu’il refuse les ordres de mission des autorités qui lui demandent de prendre en charge les conseillers sur les droits de l’état et non les recettes de l’entreprise. D’ailleurs l’UEMOA définit les droits de trafic maritime comme la prérogative de jouissance reconnue à chaque Etat sur les flux générés par son commerce extérieur. LAC est liquidée mais les droits de trafic aérien continuent au titre de propriété de l’Etat dans l’accès aux frontières aériennes.

Donc les droits de trafic sont l’apanage de l’Etat et non d’une société commerciale. Avant la transformation, la CMDC fut un établissement public à caractère commercial. En tant qu’établissement, elle était le prolongement de l’Etat.

Mais maintenant qu’on a fait la démarcation entre le caractère commercial et établissement public, LMC a choisi le commercial avec le Portefeuille, elle doit tirer les conséquences de son choix avec les droits appartenant au Ministère des Transports. Sa volonté de les extorquer est décelé et elle en est consciente.

 Ne pas suivre les propos absurdes de LMC

 MUKENDI n’est pas manager et manque de leadership. Il ne connaît pas les méandres de droit international et ignore les compétences des ministères. Il embarque son entreprise vers le suicide collectif.

De prime à bord, il ne sait pas qu’il met LMC dans les difficultés avec les arguments absurdes et bidons.

Tenez, si MUKENDI dit que Le Vice-premier ministre aux Transports, Voies de Communication et désenclavement n’a pas la prérogative de droits de trafic parce que non repris dans la nomenclature des droits, taxes et redevances reconnus à son ministère. Alors en vertu de quoi le VPM a signé les différents arrêtés dont il se réfère pour facturer ?

Si ce pouvoir n’est pas de lui alors tous les arrêtés sont faux. LMC n’a pas le droit de facturer les assujettis. Tout l’argent perçu doit être restitué aux assujettis car on payerait un droit qui n’existe pas aux transports. Donc LMC est coupable de faux et usage des faux et escroquerie. Cet argument par absurde montre le niveau d’incompétence des mandataires de LMC.

Le LMC à l’école de la voyoucratie

En engageant ses enfants, Mukendi a préparé une milice pour être intouchable. On a vu son neveu, qu’il a placé à dessein directeur juridique, Israël MBIYAMUENZA MUKENDI en bande rouge au bras, haranguant la foule avec des explications primaires qui ne tiennent pas débout au lieu de dire à son Oncle que les décisions de la Haute Cour sont exécutoires et exposent ceux qui s’y opposent aux poursuites judiciaires. Mais il ne connait rien.

Ils n’ont pas honte de défendre les intelligences des retraités dont ils refusent de payer le décompte final. Voilà la milice que préparait Mukendi au cas où on voudrait le toucher.

Ainsi, a-t-il engagé en masse sa famille. Un KULUNA lavé par son oncle comme l’ensemble de ses enfants désintoxiqués en Tunisie et devenus directeurs sans niveau ni profil, se rappellent de leur état naturel pour défendre leur oncle au prix de machettes. Ce qu’ignorent les autorités et le Conseil d’administration qui prend tout le monde et même les prostituées pour en faire des directeurs. Les postes sexuellement offerts.

Une entreprise avec plus de 120 directeurs sans activité ! 

La suspension de cet homme est inéluctable si l’état de droit existe réellement. Car ceci illustre les propos du Président de la République qui avait dit : « si tu es mon ami ou mon frère et tu commets une gaffe, je te dirais clairement, oza mwana mayi mais tu dois partir « .

Voilà l’occasion de prouver ces propos au peuple avec l’insubordination caractérisée et le soulèvement populaire organisé par son ami, le père des kulunas. Mukendi qui a raté l’éducation de ses enfants, détruit aussi LMC dont il ignore la mission et veut la transformer en transporteur routier dépensant même pour les camions et la formation.

C’est pour toutes ces raisons que BEMBA l’a stoppé net et il lui en veut, usant de menaces parce qu’il se croit au-dessus de la LOI parce qu’ami du Président de la République et défendu par un cartel au pouvoir.

LE MANDAT

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